Malgré un foisonnements de documents destinés aux patients, peu répondent aux critères qualité recommandés par les sociétés savantes et les structures institutionnelles telles que la Haute Autorité de Santé en France ou la National Health and Medical Research Council (NHRMC) en Australie.
Les ressources dont disposent le médecin sont le plus souvent issues de logiciels métier (absence de références, de date de rédaction et du nom des auteurs), de brochures pharmaceutiques (manque de transparence, difficultés de stockage), de documents institutionnels (ne traitent que de certaines thématiques) ou de sociétés savantes (documents souvent trop spécialisés).
C’est ce qui nous a conduit, dans un premier temps, à élaborer une méthodologie de rédaction des FIP en nous basant sur une synthèse des données de la littérature. Puis à rédiger une centaine de FIP concernant les motifs de consultation les plus fréquents en médecine générale.